Une rencontre

Ardeth était venue voir Doughal et la monture l’attendait avec impatience sortant la tête et remuant à son arrivé ça le fit d’ailleurs sourire il aimait voir sa belle tête noire. Il caressa avec douceur la tête de l’hongre avant d’entré dans son box et de lui parler à l’oreille il lui plaça ensuite le licol et il le fit sortit lentement à son rythme du box sachant fort bien que ce n’était pas un cheval à brusquer, un fois le grand frison dehors il attacha sa longe à un des anneaux de l’allée, le box était propre la litière semblait avoir était changé le jour même il sourit ça lui faisait une chose en moins à faire, il attrapa ensuite son seau de pansage et il commença son œuvre avec calme Doughal se laissant faire. un fois qu’il eut finit avec sa croupe il donna une friandise au grand cheval et il lui s’attaqua ensuite à la crinière de l’étalon démêlant lentement retirant le crin mort et la raccourcissant un peu. Il remarqua ensuite a présence de quelqu’un avec lui dans l’écurie mais l’égyptien était bien incapable de dire depuis quand il était là, il lui sourit donc.

« Bonjour »

Dion était assit depuis un moment deja entre les bottes de pailles qui occupainet le fond de l' écurie.
Il était un peu soucieu. Depuis qu' il était la, il avait accumulé les betises et les gestes irreflechis.
Le jeune homme soupira en repensant au matin precedant. Il c' était retrouvé au lit avec deux femmes et...un homme. Cela lui en avait mis sur la conscience et ne cessait de se tourmenter.

Si jamais j'ai fait le moinde truc avec ce mec... A cette seulle pensée, Dion se sentit mal et detourna la tête. C' était ridicule pourquoi aurait-il fait un truc pareille ?
Une petite voix lui répondit vicieusement, comme pour l' inviter a reculpabiliser ; parceque tu étais completement bourré...

Dion soupira et soutin sa tête de se main droite; ce n' était vraiment pas son jour.
Une voix lui parvint finalement aux oreilles. Un simple bonjour, dit simplement et qui se voulait sympathique. Pris dans ses pensées, Dion n' avait pas entendu la personne presente arrivé.

"'lu" Répondit simplement le jeune homme, il n' était pas d' humeur a entamer la cnversation mais se devait bien de lui répondre.

Ardeth sourit y avait pas à dire celui-là il avait la tête des mauvais jour et pas qu’un peu, il sourit. Allant s’attaquer à la queue de sa monture avec douceur il fit le même travaille minutieux qu’avec la crinière, il adorait sentir le crin entre ses doigts quand il faisait ça. Avant de prendre de quoi s’occuper des sabots de l’étalon qu’il faisait toujours en dernier car Doughal n’aimant pas ça lui en faisait sinon voir de toute les couleur pou la fin du pansage.

« vous avez la tête des mauvais jours monter vous ferait probablement du bien ! »

Il savait très qu’il se mêlait de ce qui ne le regardait pas il saisit ensuite son cure pied et il commença son travail avec soin nettoyant le sabot en empêchant l’hongre de le lui retirer, celui-ci essayant bien entendu de récupérer sa jambe pour la remettre au sol, toute fois Ardeth comme toujours parvint à finir de curer tous les sabot de l’animal, mais encore heureux qu’il n’en possédait que 4. il regarda ensuit l’état générale du sabot avant de soupirer ce n’était pas encore finit. Il soupira caressant le cheval qui lui fit bien comprendre qu’il boudait enfin jusqu’à ce qu’une carotte lui soit tendu. Ardeth soupira

« T’es vraiment trop facile à acheté mon vieux »

L’hongre lui donna un léger coup de museau qui le fit sourire

Dion soupira en silence. Monter était bien la dernière chose au monde qu' il avait envie de faire aujourd' hui.
Le jeuen homme grimaca suite à la remarque de l' egyptien. Cela se voyait donc tant que ca ? Pourtant en sortant du batiment principal il n' avait pas eu cette impression.

Et merde, si ca continu je vais me taper la pitié de tout le monde...

Prefferant ne rien répondre à l' inconnu, Dion reprit sa contemplation de 'la porte de box aux araignées' sans pour autand y faire très attention.

Dans l' écurie regnait un silence casi religieu. La plupart des chevaux se reposaient ou mangeaient negligament quelques brins de pailles. Seul le bruit du peigne dans les crins, bientot remplacer par le bruit du cure pied contre la sole troublait cette minute silencieuse.
C' était étrange il y avait si peu de monde et si peu d' agitation étais-ce dut à ce grand soleil qui illuminait la cour ? Tout le monde était parti en promenade profiter du soleil !?...
Soupirant de nouveau, Dion se recalla contre les bottes de pailles.