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 Les Psycopates - Elizabeth MAY

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Elizabeth/Edward
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MessageSujet: Les Psycopates - Elizabeth MAY   Les Psycopates - Elizabeth MAY EmptyMar 24 Fév - 1:29

      LLes Psycopates



    {. Résumé

    Une vie dévouer à être là proie de nombreux psycopates, Elizabeth devra fuire à nouveau contre un jeune homme qui l'attire. Celui-ci est beaucoup plus malin que tous ceux à qui elle eu à faire.
    Comment Elizabeth va faire pour fuir un psycopate qui lui à voler son coeur bien que celui-ci veux là tuer et la mettre permis ses nombreux chefs d'oveurs, ses cadravres.
    La jeune fille trouve aussi un lieu peut commode, ou elle se sent en securité bien qu'elle sois au millieu de nombreus cadavre enterrer. Serait-elle aussi une psycopate ? Et comment va t-elle encore une fois fuire ?



    {. Introduction

    Est-ce normal qu'une jeune fille de mon âge, c'est a dire 13 ans, mais qui en fais deux de plus à en jujer les paroles d'autruit, aime le cimetière comme un endroit ou se réfugier ?
    Non, je n'était pas ce genre de personnes à y trainer la nuit, tout au contraire, cela me faisait tout aussi peur que les autres. J'aimais m'y rendre quand le ciel était élairé et rayonnant pour prendre soin des tombes recouvertes de fleurs de couleurs joyeuses ou pâles et de celles qui étaient abandonnées.

    Le cimetière était l'endoit ou je me réfugiais quand je n'avais pas d'autre endroit ou aller, mais j'étais loin d'être triste de n'avoir d'autres refuges. Car l'endroit était paisible et calme, le silence y baignait comme celui qu'on y trouvait dans une bibliothèque seules les pages qui trournaient avait le droit d'émettre un bruit léger, qui était remplacé, dans le cimetière, par les pleurs ou encore les chats qui faisaient tomber les pots de fleurs que je remettais souvent en place.

    La réponse à ma question était sans doute non, mais une autre question effleurait surement, s'il était fûté, celui qui avait entendu la première :

    - Pourquoi cette fille aime-t-elle un cimetière alors que la bibliothèque a les mêmes caractèristiques : calme, silencieuse et appaisante ? Et pourquoi avoir besoin d'un endroit ou se réfugier ?
    La réponse était que l'atmosphère n'était point la même et qu'on ne se trouvait pas en pleine air, mais, surtout, que j'étais envoutée, attirée, hypnotisée par cet endroit.
    Pour la seconde question, je n'avait pas de réponse claire et nette, j'avais juste des problèmes qui me hantaient chaque jour de plus belle.


Dernière édition par Elizabeth/Edward le Mar 24 Fév - 14:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les Psycopates - Elizabeth MAY   Les Psycopates - Elizabeth MAY EmptyMar 24 Fév - 14:28

    Chap 1

    Le Cadravre



    Un jour ordinaire s'offrait encore à moi comme chaque fois que je me reveillais pensais-je au début. Cela consistait à : m'habiller, petit-dejeuner, aller au collège, travailler, manger, travailler, rentrer à la maison, travailert, m'offrir à une distraction diverse, manger, et dormir.
    Tout ce dérouler comme chaque jour sauf à l'heure de la fin du collège ou normalement je serai rentrer par le même chemin que j'emprintais depuis maintenant 5 ans. Mais je n'eu pas envie.

    Je regardais la forêt sournoise et sinistre qui se donnait à moi, le vent carressait son pelage feuillu qui lui arrachait au passage des poils étant des feuilles et les dispersait au hazard faisant un sol humide et boueux.
    Je tournais mon regard à l'inverse de ce coté, un chemin clair apprinter par chaques collègien qui bondaient les trottoires obligeant de marcher sur la route laissant les conducteurs de voiture furieux.

    Nan, pas cette fois ! Je me retournait une nouvelle fois et me dirigea d'un pas désider mais quand même mal à laisse vers l'endroit sombre et m'y en gouffra.
    Je me retourna et remarqua que la lisière cettait déjà refermée dérière moi, je regarda autours de moi et remarqua que j'était serné d'arbre. Choses pas étonnant vu que je retrouvais dans une forêt, mais je n'avais plus aucun point de repert étant donner à moi même, seul.
    Cependant je continua mon chemin décider à ne pas laisser tomber, je voulais trouver mon chemin, cas moi, celui que seul moi emprintrait.

    Je marchait mal à droitement et me tordais souvent la chevilles, quand je releva encore mon regard poser sur le sol je remarqua une cabane abandonner depuis longtemps et qui avait été dévorer par de nombreuse plantes.
    Je fit quelques bont et me retrouva à l'interieur, celle-ci était abandonner, certe, mais ammenager depuis peu.
    Un fauteuille vert était à coté de moi, il y avait aussi des canettes de bière disperser sur les planche de bois, une mini table au millieu et...
    Et un cadavre qui devait avoir perdu la vie depuis 2 semaines, ses habills étaiten déchirés et ils n'en restaient preque plus. Des asticots blancs sortaient de partout mangean le peu de peau qu'il restait au mort. Il ne restait plus que les os, un oeil déjà attaqué, et quelques rares ligaments et muscles.
    Je mis ma main sur ma bouche bloquant aussi mes narines pour ne plus sentir cette odeur qui me donnait envie de vomir.

    Je recula et me prit les pieds dans un bout de bois, tombant sur le poigner que je metrodus, je laissa échapper de ma bouche un gémisement de douleurs.
    Je me recoubai sur moi même les larmes remplient mes yeux me brouyant la vue, je me redressait et mon dos se heurta à quelque choses de dur mais à la fois moue. Je tourna la tête pour voir ce que cettait. Des jambes ? Je releva mon regard qui se posa sur le visage d'un inconnua u trait jeune et à la peau fine, il avait les yeux d'une couleurs verts qu'on ne trouvait peu. Des levres surement douce et des cheveux bruns allant jusquaut epaules, quelque meches tombait sur le font du garçon. Celui-ci avait une mains dans sa poche, l'autre tombant le long de son corps, il me regarda d'un air décontracter mais son yeux disaient autre chose.

    Son regard était sournoit et nargeure, il me disait que j'était très mal tomber et que j'aurais de gros problème. Mon instint me releva, mais je m'appuya sur mon poigner surement casser. Je laissai un second gemisement sortir de ma bouche, mon regard était affoller, cependant je reussit quand même à me mettre sur mes pieds et je recula prise au pieges entre les deux coins du mur. Mon coeur obliait souvent de battre, le jeune homme me regarda etonner, il avait un visage angelique avec un regard de tueur.
    L'homme allait parler mais je prit les devant et demanda :

    -Qu'a-allait v-vous faire ?

    J'aessayait de garder une atonnasion posser mais cela revenait à l'extrème et ma voix chuta à l'aigu et je bafouilla deux fois. Le jeune homme me regarda encore plus etonner que je parle en première. Il répondit d'une voix calme et douce mais ne cachant pas son existation :

    -Hum...etonnant, tu t'es mis dans une sale galère petite.

    Je toisais du regard et lui retorqua d'une voix remplis de haïne :

    -Vous avez pas répondu !

    L'homme se rapprocha et moi je me plaquait encore plus contre le mur de bois me plantant pas mal d'echarde.

    -Ma cher petite...tu vas s'en doute mourir, sa te gene pas ?

    Sa voix était calme, sa question, il me la posa de la même façon qu'un serveur d'un bar demandait à son client ce qu'il désirait boire.

    -Mais, mais vous...ETES CARREMENT TARE !!!

    Je courus de l'autre coté longant le mur pour m'echapper mais l'homme entisippa et me plaqua contre le bois. Je ne savais pas quoi faire ni quoi dire, perdu dans une foret les plus sinistre qu'il existait avec un psycopate qui m'etranglait. Je...je voulais...

    -A L'AIDE !!!

    Ma voix étonnament aigus ce qui m'etonna car j'avais une voix grave, j'avais hurler tellement fort que le jeune homme me lacha pour mettre ses mains sur ses pempes.

    -...

    Ma vois...je n'avais plus de voix et je toussa mettant une main sur ma gorge qui me faisait très mal.
    L'homme sourit et revint vers moi mais je couru plus vite et m'enfuit vers la sortie, je couru sans savoir je me dirigeait, juste en suivant les arbres marquer par des ronds rouges.
    Le paysage defillait sous mes yeux remplient de larmes. Je drebucha et tomba, je hurlai quand je me rattrapa sur mon poigner qui s'ecroula, le visage par terre contre les feuilles humide et le visage egratiné. Je me souleva et recommença à courir jusqu'à que je revois la civilisation.

    Je n'arrivai pas dans un une ville ou un village, non. Mais dans un cimetière toujours utilisé, ici je me sentis etonnament bien. J'était pas morte mais certainement pas libre désormait.
    J'allai devoir me cacher et faire attention, car un psycopate accro au meurtre ne laissait jamais une proie "moi" libre. Non il allait la traquer, me traquer !
    Je le savais très bien car mes parents étaient des psycopate aussi tordu que ce jeune homme. Et eux aussi voulaient m'eliminer. J'avais une certaine odeur ou quelque chose qui attirait les personnes completement folles.

    J'étais condanner maintenant, j'allais sois mourir de 5 façons :
    Accidents - assacinée - par ce psycopate - assacinée par mes parents - assaciné par la dame qui soccupait de moi dans le foyer - ou de vieillesse (la façon la meilleur à mon gout).

    Sur cette pensée je me dirigeais vers la ville cherchant le chemin qui me ramenerai à ma chambre (si on pouvais appeler ça comme ça).

    [je corrigerai plus tard]
    ]
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MessageSujet: Re: Les Psycopates - Elizabeth MAY   Les Psycopates - Elizabeth MAY EmptyMer 25 Fév - 23:57

J'arrivais enfin devant la porte du foyer, je la poussa et m'engouffra dans l'entrée qui disposait que d'un fauteuil en osier à moitier détruit, plus personnes n'ossait s'y assoire de peur qu'il said sous le poid.

Je montais les escaliers en bois, je m'appuyais contre la rambarde qui, elle aussi, était agé et risquait de craquer, certains bouts de bois qui la soutenait étaient déjà partis.
L'escalier fut un défi très dure à surementer, l'étage du dessus me paraisait tellement loin. J'avais plus peur que jamais, peur que le psycopate mais suivit, peur de la dame qui allait me donner une de ses raclait dont elle avait le secret, peur de tout ce qui m'arriverait bientôt, livrée à moi seul, devant agir en ma propre désision devant être parfaite pour ne pas qu'il m'arrive quelque chose.

J'arrivais enfin au bout et me dirigeai vers ma chambre, j'ouvrit là porte.
Je fit un bont en arrière le coeur se remetant à battre, quelqu'un m'attendai assit mon lit défait. Cette personne alluma la lumière, ce qui me décrocha à soupir soulager, mais pas sufisament pour que mon organe ce calme. Ce n'était que la dame de mon foyer, je détaillai son visage rouge de couleur, il était crispé, affichant une grimace. Ses cheveux étaient ebouriffiés, ce qui démontraient qu'elle m'attendait depuis longtemps. Je regarda ma montre et fut surprise par l'heure qu'elle affichait, onze heures vingt-cinq, j'avait largement dépasé le couvre-feu, rattant aussi le diner.
La dame se leva, se dirigea vers moi d'un pas naturel et...me gifla, me faisant perdre l'équillibre et tombant. Cette fois je pus retenir un hurlement qui ne sortit pas car je n'avais plus voix. Mon poigner était gonflé et violet, limite noir. Les larmes me reprirent et je ne pus m'arrêter. La dame se rapprcha et se mit à hurler :

-Tu n'es qu'une bonne à rien, tu n'as aucun respet, tu resteras seul jusqu'à ta mort et tu sais pourquoi ?

Je fus choquer, mon apparance montrais bien que j'avais été agresser et toute fois sa ne l'empechait pas de me hurler dessus comme une démené.

-Non, bien sur que non, tu ne sais rien, et tu ne sauras jamais rien. Moi je vais te le dire ! Tu as un visage d'ange, une beauté que personnes d'autre possede, une agelité de felin, une voix parfaite. Mais tes parents sont que tes psycopates, et, toi tu devindras comme eux. Les gens seront jaloux de toi, personnes de t'aidera, arpès tout, qui voudrai d'une orpheline ? Tu pourriras ici, tu n'auras que ce que tu merites !

Sa voix était pleine de hargne et de haïne, sur cette parole et sortit et claqua la porte si violament que le verroux se décroucha et retomba sur ma tête. Quelque minutes passèrent et je restais allongé sur le sol, mon bras doit tendu et l'autre le long de mon corps, les genoux recourbés, et les larmes qui ne saisaient de couler, mon regard vide. La porte se réouvrit mais je n'y préta aucune intension. Quelqu'un me souleva la tête et la reposa sur des genoux, une main caressa mais cheveux blonds. Une voix douce que je connaisais depuis ma plus jeune enfance me dit :

-Je suis là, je suis là.

C'était celle de Nolwenn,son amie d'enfance, elle avait toujours été douce avec elle. La jeune fille était châtain claire, des cheveux mit long mais très soyeux et prèsque jamais graisseux. Un visage pâle, assez fine, une peau fine, des yeux bleu. Son amie s'était retrouvée ici car ses parends l'avait abandonné des ses 6 ans. Les seul souvenirs qu'elle avait gardé s'était son père battant sa mère jusqu'aux sang. J'aurais tellement voulus la réconforté, mais je n'y arrivais pas, je n'avait jamais sut trouver les mots. Souvent elle se réveillait en hurlant, faisant toute sorte de cauchemars, qui avaient tous un point commun... elle finisait cloué contre une croit comme jesus, nue et souiller, les yeux arrcher tout comme la langue. J'avais la rasurer disant qu'elle ne mourra jamais comme ça, elle était convainquu du contraire.

Je me replia encore plus, sa main me frota la joue, elle me déposa un baisser sur la joue et recommença à passer sa main dans mes cheveux.
Puis me demanda :

-Ton poigné ! que s'est-il passer ? Tes vêtements !

J'ignora ses questions, cependant elle m'obligea à répondre mais je ne pus, elle comprit tout de suite que je ne pouvais parler et elle me dit juste :

-Tu me raconteras plus tars, mais maintenant dors.
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