{. Box de Babar -[Galabriel ALDEN]

Galabriel était occupé par son dessin mais au son du moteur il sorti de sa torpeur observant le van faire son entré dans la cour de l’établissement il sourit bien il allait le rencontrer ce cheval qui semblait vouloir donner du fil à retordre à sa cavalière. Il sourit se lava les mains car le fusain sa tache. Il enfila ensuite ses chaussettes et ses chaussures, attrapant aussi sa veste au passage. Il arriva dans la cour au moment où la cavalière sortit l’animal du van il était beau c’est la première chose qu’il pensa en le voyant. Il partit donc dans leur direction. Babar ne voulait visiblement pas rentrer dans le bâtiment ce qui montait qu’au mois sa cavalière n’avait pas complètement tord sur son petit problème il s’approcha donc et salua les deux femmes poliment

« Bonjour »

Comprenant que pour Laura cela pouvait lui permettre de voir comment il agissait envers ces créature équine il tendit la paume de sa mains au cheval pour que celui–ci puisse la renifler à sa guise. Une fois que le cheval lut fait il prit en douceur la longue des main de Laura et il lui caressa à son tour l‘encolure, et il lui parla d’une voix douce ce qu’il ne faisait que rarement avec les humains. Il constata que le voyage avait dut stresser l’animal car ce dernier était tendu mais pour lui son refus d’obtempéré ne venait pas de là. Il incita lentement et en douceur le cheval à avancer la douceur ne fut pas ce qui fit le mieux l’effet mais probablement la fermeté que sa voix contenait quand il lui demandait d’avancer car le cheval se remit à avancer calmement et Galabriel ne chercha pas à le presser car que le cheval prenne son temps n’était pas forcément un mal puisqu’il ne connaissait pas l’endroit. Il tourna la tête vers Laura car c’était bien beau de le faire avancer mais encore fallait-il savoir où l’emmener

« Laura pourrais-je savoir où vous comptez l’installer ? »

Il caressa les naseau du cheval pour le motivé à continuer à avancer

« Je ne le savais merci de l’information, il n’est vraiment pas nécessaire de me vouvoyer surtout que vous êtes l’aîné c’est gênant »

Il fit entrer lentement le cheval dans le box en le félicitant d’une voix douce car oui il n’avait pas poser de problème il lui flatta d’ailleurs l’encolure avec douceur. il prit le flacon et écouta ce que lui dit Laura et acquiesça il présenta toute fois e flacon au cheval avant de faire quoi que ce soit

« Alors bonhomme elle te plais cette odeur ? parce que sinon ce serait bête de l’utiliser ! »

Au réaction du jeune cheval il sourit visiblement oui elle lui plaisait drôlement cette odeur de Provence il la regarda vérifiant qu’elle était déjà diluer avant de l’utiliser il n’était pas douer pour les massage et c’est bien la première fois qu’il allait le faire sur un cheval

« Pourriez-vous me montrer comment vous faites s’il vous plais ? je ne l’ai jamais fait avant »

Ben oui quand on ne sait pas il vos mieux demander ça évite de faire une connerie il caressa doucement la tête du cheval

« Il a l’air assez doux comme cheval et il n’a pas non plus l’air de faire parti de ceux qui se braque pour rien »

Il soupira Ilian aussi était comme ça avant l’accident mais ce n’était pas l’heure de penser à lui il avait un autre étalon qui attendait qu’on s’occupe de lui. Il écouta donc ce que lui dit Laura

Galabriel prit le numéro que lui tendit la femme avant de partir il la salua et rangea le numéro dans la poche de son jean avant d’acquiescer à ce que lui dit Laura quand elle commença à masser Babar il l’observa avec beaucoup d’attention avant de reproduire les même geste il apprenait vite. Il observa avec satisfaction que l’étalon se détendait lentement sous les massages ses paupières à demi close et sa tête basse l’indiquait bien.

« Il a l’air d’apprécier ! Pas vrais bonhomme ! »

Il parlait toujours aux chevaux d’on il s’occuper déjà aux écurie paternel et il ne comptait pas perdre cette habitude bien que son père ne l’ai jamais vraiment apprécié. Il sourit voyant Babar ce détendre mais il ne releva pas les yeux vers la jeune femme qui venait de lui apprendre cette nouvelle méthode il avait beaucoup de mal à sourire en présence d’inconnu

« Je sais c’est entre autre pour ça que j’ai préfère venir ici que rester là-bas, et encore ses méthodes n’était pas les plus violentes qui soit il y a pire »

C’est vrai qu’il n’avait jamais vu son père levé la main sur un de se chevaux mais il n’avait jamais supporter ses méthodes de dressage passant par l’épuisement et les entrave pour lui ces méthodes dataient d’un autre temps et elles ne devaient en aucun cas être utiliser de nos jours, car pour lui briser un cheval n’était pas la meilleur solution. Il caressa les naseaux de Babar qui commençait à somnoler.

« On peut dire qu’il c’est détendu. »

Il se tourna vers Laura l’observant un court instant avant de reporter son attention sur l’étalon